La vie est parfois dure, elle nous met à l’épreuve. Face à ces épreuves, nous avons le choix d’agir, et nos actions ont des répercussions sur nos vies et celles de nos proches. Malheureusement, je suis arrivé à un point où la vie m’a rappelé à quel point elle peut être impitoyable. C’est donc avec beaucoup de tristesse qu’Audrey et moi avons pris la décision de divorcer.
Je garde un goût amer, car je suis convaincu que beaucoup de choses auraient pu être évitées. L’incompréhension, des deux côtés, a fini par avoir raison de nous. Aujourd’hui, j’ai signé pour être malheureux une moitié de ma vie, pour ne voir mes enfants qu’à 50%. Cela signifie être loin d’eux pendant sept années cumulées, et entre 320 et 350 fois où je devrai les voir partir. Quand on construit une famille, on ne pense jamais que cela puisse arriver.
C’est d’autant plus dur quand on voit des actes en cours qui, à mes yeux, relèvent d’un total manque de respect. Mais alors, que faire ? Travailler sur soi, d’abord. Ensuite, après les remises en question, il faut avancer.
Ces derniers mois, j’ai eu un genou à terre… peut-être même les deux. La vie n’a pas été clémente ces dernières années. Mais il était hors de question de rester ainsi. Soit, j’ai signé pour une part de malheur, mais l’autre moitié, celle avec mes enfants, je vais en faire un rêve. « Fais de ta vie un rêve, et d’un rêve, une réalité. » Cette phrase prend tout son sens aujourd’hui.
Alors voici une liste de tout ce que je vais entreprendre, pour moi et pour eux. Et c’est là que je vous sollicite ! Si vous avez un moyen de m’aider, ou de nous aider, il suffit de me contacter et on verra comment avancer ensemble. Il ne s’agit pas de faire l’aumône, mais plutôt d’échanger des services, de créer du mouvement et du positif. Certaines choses sont liées à mes envies, d’autres ont été décidées avec mes enfants. C’est ma manière de rebondir.